Ces derniers temps, je m’essaie au dessin plus ou moins en rapport avec l’actualité.
Celui-ci, c’était cet été, au moment des innondations.
Lire la suiteCes derniers temps, je m’essaie au dessin plus ou moins en rapport avec l’actualité.
Celui-ci, c’était cet été, au moment des innondations.
Lire la suiteOuondergranny et Cat Ma’ sont des superhéroïnes aguerries. Sauver le monde, ça les connaît – elles le font souvent et depuis très longtemps. C’est un métier gratifiant, mais aussi assez prenant. Or depuis quelques temps, elles doivent s’acquitter d’une mission supplémentaire: s’occuper de leur petit-fils, Marcel.
Lire la suiteEt hop, une série de dessins que j’ai fait pour illustrer une super série de reportages sur le sexe chez les seniors, de l’émission Vacarme de la RTS: quand le corps lâche (1/5), le troisième âge au 7ème ciel (2/5), où sont les hommes? (3/5), un désir sans fin (4/5), et noces de tendresse (5/5).
Pour écouter, c’est par là.
Une baignoire terrorise un village. Seules une petite fille et une vieille femme oseront l’affronter. Une histoire de courage, de tentacules et de thalassothérapie.
Lire la suiteBon, pendant qu’on y est, je remets le sujet sur la table: je n’ai toujours pas trouvé de mot satisfaisant pour désigner le sexe de la femme en termes enfantins. Chez nous, on dit « grain de café » par habitude familiale, mais je n’aime pas l’idée de détourner un mot qui existe déjà, surtout pour quelque chose qui se mange. Même chose pour « abricot », « schneck », etc. « Zézette » me dérange parce qu’il est dérivé de « zizi » et je trouve qu’on a droit à un mot indépendant. Avec « kiki », on ne sait plus de quoi on parle… Bref, si on inventait un nouveau mot? Je propose « oussou » parce que ça sonne bien, ça sonne africain, la terre originelle. En même temps, je n’ai aucune compétence en linguistique, encore moins en linguistique africaine. Donc si vous avez de meilleures idées, je suis preneuse. Des suggestions?
En attendant, j’ai fait un dessin.
Dans le Quercy, et ailleurs sûrement, les blés viennent d’être coupés.
Ces derniers temps, j’ai l’impression d’avoir eu vingt fois cette conversation. Il vaut peut-être mieux faire un dessin.
Je n’ai plus de mur au travail pour dire ce que la grève des femmes du 14 juin 2019 m’inspire. Normal, le 14 juin est passé. Mais il m’inspire encore.
Ce matin, en écoutant le super podcast d’Émilie Gasc sur la grève des femmes, j’ai appris que « clitoris », en langue des signes, ça se dit en fermant le poing, le pouce glissé entre le majeur et l’index. Après, j’ai enchaîné avec l’émission de Julien Magnollay sur la genèse du poing levé et je me suis dit qu’on devrait faire une adaptation pour la prochaine fois.
PS: On m’a demandé une version anglaise, alors la voici, en autoporté.
J’ai encore fait un dessin pour le mur de mon travail dédié à la grève des femmes du 14 juin et ce qu’elle nous inspire.